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Au silence sur la dictature s’est substitué le brouhaha des grands soirs. Le monde faisait mine de découvrir que Ben Ali était un dictateur, qu’en Tunisie il y’avait un peuple. D’un coup d’un seul, la liberté, la démocratie et la dignité devenaient les points cardinaux des relations méditerranéennes.  Un peu naïvement, le temps était celui des lendemains qui chantent. 

 

A avoir été trop pessimiste le monde devenait maladivement optimiste. Comme si la chute d’un homme marquait la fin d’un processus. Ce n’est en réalité qu’un début. L’image omnipotente et paternaliste du président Ben Ali a disparu, des champs s’ouvrent, les défis son grands : corruption, chômage, cohésion sociale. Tomber dans l’excès inverse devient alors une solution de non-solution : « c’était mieux avant » entend-on. Sans apporter de perspectives on idéalise un passé révolu, on oublie le mauvais pour ne garder que le bon. 

 

Quoi qu’il en soit, il est trop tard. La révolution continue. Rien n’est fini. 

 

Tout commence. 

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