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Plus de trente ans au pouvoir. Trente deux ans, pour être exact, d’un pouvoir sans partage d’un homme et d’un clan sur la Tunisie. Le 7 novembre 1987, Zine el-Abidine Ben Ali devient président de la république à la suite de ce qu’on l’appellera le « coup d’état médical ».

 

Aux yeux des démocraties européennes Ben Ali est incontestablement un allié, un ami même. Michel Alliot-Marie, alors ministre de l’intérieur en 2011, ne s’y trompe pas. A rebours de l’Histoire, elle propose au régime de mettre l’expertise française au service de la police anti-émeute tunisienne. On n’efface pas trente ans d’amitié comme cela.

 

La censure, la corruption, la répression policière, l’autoritarisme? Un mal nécessaire, pas si grave finalement.

 

Nécessaire car inévitable. Un paradigme a traversé les décennies, celui de « l’exception arabe » : les sociétés arabes seraient fondamentalement incompatibles avec la démocratie. La liberté c’est bien mais pas pour tout le monde.  Si cela ne suffisait pas, l’épouvantail islamiste finissait de convaincre les démocrates autoproclamés de la nécessité de l’autoritarisme de Ben Ali. L’honneur était sauf, les touristes occidentaux pouvaient profiter des plages tunisiennes, les tunisiens semblaient contents. La carte postale était belle.

 

Peut être trop belle pour être vraie.

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